Et si vous faisiez le tour de France à dos de vers ? C’est la distrayante et plaisante invitation au voyage de Béatrice Mandopoulos et Albine Novarino-Pothier, qui ont recueilli cent poèmes, dans un élégant ouvrage. L’objectif est de flâner, au…
Quand deux journalistes du Figaro prennent la plume, c’est pour la liberté de blâmer. Mission réussie. Au fil des pages, les auteurs retracent la genèse de la Manif pour tous – le mouvement contre la loi sur le mariage gay…
Moïse face à Pharaon ? Qaraqorum, le 31 mai 1254. La capitale du plus grand empire que le monde ait connu n’est qu’un campement de yourtes, alors que cet “Empire des Steppes’’, comme le nomme René Grousset, mord cruellement les…
L’audiovisuel français n’a qu’à bien se tenir. Après avoir entièrement remanié sa grille des programmes, LCP entame une rentrée offensive et ambitieuse. Décryptage de débats, documentaires en prime time et plateaux télés stimulants : pour Gérard Leclerc, président directeur général de la chaîne, cette remise à plat courageuse va surtout permettre d’instaurer de véritables rendez-vous quotidiens en offrant des contenus toujours plus qualitatifs.
Dans son rapport sur l’adaptation des politiques culturelles au numérique remis le lundi 13 mai à François Hollande et à Aurélie Filippetti, Pierre Lescure soumet 75 propositions pour réformer et soutenir les secteurs artistiques concernés par les innovations numériques.
Quand la ‘‘bulle’’ des commentaires spéculatifs à prétention futurologique éclatera, le monde pataugera dans les lieux communs du type « L’avenir nous le dira… », et il ne sera plus temps d’écouter Churchill : « Plus vous regardez en arrière, plus vous voyez devant. »
Gérard Depardieu sera DSK dans un film tourné aux États-Unis. Mais en attendant, Bernard Le Coq a joué Jacques Chirac à la télévision avec Patrick Braoudé dans le rôle de François Hollande et Thierry Frémont dans celui de Nicolas Sarkozy. La fiction s’empare de la vie politique, au risque de n’être plus tout à fait de la fiction…
La conquête du Mexique par Cortès, en rivalité avec les spéculateurs de Cuba, illustre l’une des premières dérives du capitalisme dans un contexte de mondialisation…
Que peuvent bien avoir en commun un dandy et un sans-culotte ? Pas grand-chose a priori, si ce n’est l’expression symbolique de leur garde-robe. Car si aujourd’hui les codes de la mode flattent avant tout la beauté d’une silhouette, l’origine du vêtement aurait peut-être servi à refléter non pas l’âme mais l’opinion de celui qui le porte.
Les polémiques sur les salaires des acteurs ont poussé les pouvoirs publics à convoquer des Assises du cinéma, réunissant responsables politiques et professionnels, afin de réfléchir aux solutions pouvant soutenir le septième art.