Comment s’annoncent les négociations commerciales pour 2013 ? L’un des aspects majeurs est celui du pouvoir d’achat. En tant que point de rencontre entre le monde agricole, les transformateurs et les consommateurs, il nous faut gérer un paradoxe : les…
Auteur/autrice : mondeedition
Un entretien avec Élisabeth Morin-Chartier Députée européenne et vice-présidente de la Commission des droits des femmes Quelles sont les principales conclusions de votre récent rapport sur l’impact de la crise sur le travail des femmes ?En premier lieu, il y une…
Manuel Valls, Michel Sapin, Laurent Fabius, Pierre Moscovici voire Claude Bartolone ou Vincent Peillon : les favoris de la « course à Matignon » sont connus. Mais rien ne dit qu’ils ne se feront pas damer le pion par une femme dans la dernière ligne droite.
Ancien ministre de la Défense puis président de la commission de la Défense nationale de l’Assemblée nationale pendant cinq ans, Paul Quilès a commencé à douter de la pertinence de la dissuasion nucléaire il y a une quinzaine d’années.
En ces temps de crise et de chômage, les priorités doivent aller vers l’emploi, la formation et la bonne utilisation du produit de l’impôt : trois causes que François Patriat tente de servir simultanément.
C’est un Xavier Bertrand bronzé et souriant qui se présente devant les journalistes accrédités à l’Assemblée nationale. Moins exposé que Jean-François Copé ou François Fillon, l’ancien ministre du travail tente de se frayer un chemin (…).
Faut-il s’inquiéter de la montée en puissance économique de la Chine ? François-Régis Dabas, breveté de l’École de Guerre, dresse dans un ouvrage, Quelle stratégie pour la Chine ?, un état des lieux des ambitions du pays.
Dans son rapport sur l’adaptation des politiques culturelles au numérique remis le lundi 13 mai à François Hollande et à Aurélie Filippetti, Pierre Lescure soumet 75 propositions pour réformer et soutenir les secteurs artistiques concernés par les innovations numériques.
Comment les partisans de la construction européenne vont-ils combattre « l’europhobie » de leurs adversaires lors des élections de l’an prochain ? Il n’est pas trop tôt pour poser la question car il ne sera pas simple d’expliquer les procédures successives générées par le renflouement des pays en difficulté. Ainsi que leur coût…
Quand la ‘‘bulle’’ des commentaires spéculatifs à prétention futurologique éclatera, le monde pataugera dans les lieux communs du type « L’avenir nous le dira… », et il ne sera plus temps d’écouter Churchill : « Plus vous regardez en arrière, plus vous voyez devant. »