Avec sa saisine ouverte à tous les justiciables, le Conseil constitutionnel traite quatre fois plus d’affaires qu’auparavant. Un succès qui tient, selon son président, à plusieurs atouts : « lisibilité, rapidité, simplicité contradictoire ». Ce faisant, il participe fortement à la modernisation du droit français.
Entre les pessimistes qui disent que l’on n’a encore rien vu et les optimistes qui affirment que tout va s’arranger, entreprises et particuliers ne savent plus sur quel pied danser. À croire que la panne d’idées est encore plus grave que le marasme financier.
Comment tirer son épingle du jeu à Bruxelles et à Strasbourg ? Cela passe par des actions appropriées et des structures qui, au fil des ans, ont appris les règles du jeu au sein de l’Union. Ainsi en est-il de la Conférence des régions périphériques maritimes d’Europe ou du très influent Comité des régions. Voici quelques témoignages et points de repères pour s’y retrouver.
La plus haute des distinctions françaises, la Légion d’honneur, est parfois mal connue quand elle n’est pas critiquée. Créée par Napoléon, il y a plus de deux siècles, elle garde pourtant toute sa symbolique.
Il est le « sage » le plus ambitieux de la droite. Son rêve ? La présidence du Sénat. En attendant, Jean-Pierre Raffarin distribue les bons et les mauvais points aux acteurs de la scène politique. Ce qu’il fit devant l’association des journalistes parlementaires.
La présidente de l’opposition à la région Ile-de-France et députée des Yvelines se prête
au jeu de “l’interview décalée” en répondant le plus vite possible.
« Le quai d’Orsay doit être aussi la maison des entreprises » : c’est en ces termes que Laurent Fabius a conclu les Rencontres Quai d’Orsay-Entreprises dont l’objectif était de replacer la diplomatie économique au cœur des priorités.
Dispensant un véritable cours de relations internationales à des étudiants n’ayant jamais été si attentifs, Laurent Fabius a dénombré les composantes de l’influence de la France sur la scène internationale et les moyens mis en place pour la conserver.
À l’heure du web 2.0, les outils numériques ont révolutionné le rapport à la démocratie en ouvrant l’espace public à de nouvelles prises de paroles. Une aubaine pour les hommes politiques qui souhaitent toucher leur électorat autrement que par les médias traditionnels.
En repoussant les frontières traditionnelles de l’espace public, Internet a ouvert la voie à toutes les opinions, y compris les plus extrêmes. Du pain béni pour les groupuscules d’extrême-droite qui ont rapidement su exploiter les outils numériques pour diffuser leurs idées et agrandir leur champ d’influence.