Dans 1914-2014 l’Europe sortie de l’histoire, Jean-Pierre Chevènement mène une analyse fouillée de la situation européenne en tentant de dépasser une vision trop souvent édulcorée ou cloisonnée de la question.
Christian Favier, président du Conseil général du Val-de-Marne, analyse les dangers du Grand Paris, qui pourrait selon lui créer une métropole à deux vitesses, avec à terme une fracture sociale entre les « zones attractives » et les autres.
Le ministre a voulu l’affichage d’une charte de la laïcité dans les écoles dès cet automne.
Il met en place des cours de “morale civique” pour la rentrée 2015.
L’ancien ministre de l’Education nationale partage totalement l’avis de la Cour des comptes sur la nécessité d’une gestion efficace des moyens existants. Pour lui, il faut avant tout réformer l’école et l’enseignement. Mais un consensus reste introuvable avec la gauche actuelle.
Pour le président de l’Ile-de-France, les « gares ont toujours été des facteurs de développement économique », d’où la nécessité de lier relance économique et mobilité des personnes. De manière plus générale, il estime « qu’aucun État dans aucun pays ne peut réussir s’il ne s’appuie pas sur un partenariat et même une complicité avec les régions ». Une occasion de réfléchir aux derniers textes sur la décentralisation…
Le projet de canal Seine-Nord Europe, entre l’Oise et le canal Dunkerque Escaut, est porteur d’un renouveau du transport fluvial. Il devrait permettre d’améliorer la compétitivité des entreprises, de soutenir le développement de l’hinterland des ports français, et d’ancrer la politique de transport dans le développement durable.
Manuel Valls, Michel Sapin, Laurent Fabius, Pierre Moscovici voire Claude Bartolone ou Vincent Peillon : les favoris de la « course à Matignon » sont connus. Mais rien ne dit qu’ils ne se feront pas damer le pion par une femme dans la dernière ligne droite.
Le débat sur le cumul des mandats et l’affaire Cahuzac ont mis les élus au centre de l’attention. Les députés ont lancé une mission d’information afin de dissiper les malentendus entre les Français et leurs représentants.
En ces temps de crise et de chômage, les priorités doivent aller vers l’emploi, la formation et la bonne utilisation du produit de l’impôt : trois causes que François Patriat tente de servir simultanément.
C’est un Xavier Bertrand bronzé et souriant qui se présente devant les journalistes accrédités à l’Assemblée nationale. Moins exposé que Jean-François Copé ou François Fillon, l’ancien ministre du travail tente de se frayer un chemin (…).